Petite compilation trouvée sur le site de monsieur Volkovitch (le prof d'alexia et pimpim )
_Je devrais m'empêcher de montrer à Germaine combien je m'intéresse à elle, mais plus elle me serre dans ses bras, plus ça devient dur...
_Il y aura tant de monde dans le car pour Chavirille, dans quelques minutes, qu'il faudra que je tienne Germaine dans mes bras, et elle me dira, Quel car est-ce ?!
_Tu ne me laisses jamais (ou presque jamais) t'emmener faire un peu de sport dans la forêt, ce qui est dommage, Germaine, car je voudrais tant filer là-bas.
_Il a dû y avoir une erreur, je n'avais pas demandé une poupée Barbie — à moins que ce vieux salaud n'ait emmené mes deux copines avec lui à Rennes.
_Toutes les fois que je vais voir Gertrude dans les vestiaires après le match, je sens une odeur qui pourrait être la sienne, ou plutôt qui a de fortes chances d'être la sienne, et je murmure, en extase, Est-ce elle?
_Annick m'a dit : Depuis qu'Eugène a pris l'habitude de moudre son café à la main pendant des heures, Raymonde dit à son amant pendant qu'Eugène sue : plus mon mari moud, plus notre plaisir dure.
_Germaine chérie, je regrette que nous ne puissions aller parler anglais quelques jours dans les îles britanniques, ta merveilleuse maman, toi et moi, pour que je vous montre ce que je sais faire avec cette langue.
_Chaque fois qu'il essaie de rendre heureuse soit Gertrude, soit Germaine, elles ont l'habitude de lui dire, Tu es chou avec tes baisers de nuque !
_Quand tu en auras marre de ma fille, au lieu de te perdre avec elle tous les dimanches dans les bois de Chavirille, il faudra que tu te perdes avec moi, qui connais beaucoup de petits sentiers qu'elle n'a pas découverts encore.
_Annick a l'habitude de me dire : Je regrette d'avoir deux jeunes amis, car chaque fois que je donne quelque chose à l'un d'eux, je me demande s'il faudrait que je donne à l'autre ce qu'a l'un.
_Quand Annick m'a laissé regarder la photo de son dos, je n'ai pu m'empêcher de lui dire que j'aimerais mieux qu'elle me donne un dessin.
_Quand nous aurons plongé dans l'étang à minuit après avoir oublié d'acheter des maillots, je te demanderai : Qu'est-ce que tu aimes dans l'eau, et tu me répondras : C'est aqueux...
_Quand je mourrai dans les bras d'Annick, elle mangera probablement mon corps, ou du moins les parties qu'elle aime le mieux, et je sens déjà qu'une belle mort m'habite.
_Depuis que j'ai rencontré cette fille superbe dont le nom est Germaine, j'habite chez elle, à Chèvres, et il est probable que nous passerons toutes les deux les vacances à Béziers.
_Il est probable que ces deux pétasses, qui ne sont pas à Sète, ne pourront pas se passer de moi longtemps, et il se pourrait qu'elles reviennent plus près de moi pour essayer l'amour à Troyes.
_Ma Gégé, nous pourrions revenir à Chèvres, bien qu'Arsène y soit, mais j'aimerais mieux que nous allions sur la Côte d'Azur, n'importe où sauf à Antibes, car je ne peux m'empêcher de détester les Antibaises.
_Comme elles n'avaient presque plus d'argent, Gertrude et Germaine ont dû aller vivre au Népal, car on leur a dit que là-bas on échange dix mille roupies contre deux francs seize..
_À Monaco, mon gros bébé, tu t'habitueras vite à laisser monter Carlo dans ma chambre un jour sur deux, et puis nous irons nager sans porter de maillot, puisque là-bas il est en principe ôté.
_Annick nous a dit : Je regrette de ne pouvoir vous emmener, mais depuis que ce jeune prince de l'Himalaya m'a invitée dans son pays, je me dis que ce garçon n'est pas laid...
_Après un voyage Delhi - Katmandou, Annick était impatiente de voir bientôt le prince qui allait probablement lui montrer le Boudpokistan.
_Ils auraient pu s'aimer, mais c'était un prince trop timide, dont le seul désir était de zieuter les orteils d'Annick, et chaque fois qu'elle ôta sa chaussure, il put l'épier.
dois-je rappeller que c'est avec ce genre de prof qu'on est censé passer le bac d'anglais...
le site http://www.volkovitch.com/